M. Georges GOORMAGHTIGH fut chargé d’enseignement de 1976 à 2008 à l’Unité de chinois de l’Université de Genève. Expert passionné du qin, cette cithare à cordes pincées, il publie un livre accompagné d’un CD pour « témoigner de l’impact que peut avoir, en musique, un enseignement traditionnel, lorsqu’il est dispensé par un maître éminent ». En évoquant son passé et les souvenirs de ses séjours en Chine, M. GOORMAGHTIGH veut ainsi rendre hommage à son maître, Mme TSAR Teh-yun (1905-2007), musicienne, poétesse et calligraphe.
Pour passer commande et écouter des extraits de morceaux choisis, se référer au site le Grain des choses.
Dans un article intitulé Une vie pour le qin – Georges GOORMAGHTIGH, le Bo Ya des temps modernes, et publié sur le site Question Chine, M. Patrice FAVA,  sinologue et anthropologue, met en exergue l’apport de celui qui s’est dédié à cet « instrument des sages ».